Sophie Hénaff mêle avec brio comédie sociale et roman policier et ses personnages démêlent trois affaires en même temps. Le tout avec un humour décapant et une attention bienveillante. Une « affaire » à suivre…
Avec des morts en cascade en cette période de Toussaint en région parisienne comme en province, les Français ont peur de celle que la presse a surnommée d’emblée L’Empoisonneuse… On n’est plus très loin de l’hystérie collective
Un beau roman aux accents classiques, écrit d’une plume littéraire, avec des personnages féminins incarnés, une histoire prenante et un dénouement inattendu.
Que l’on aime ou non le graphisme de ses ouvrages, l’histoire de Xavier, un infirmier tatoué belge…
Un (premier) roman totalement hallucinatoire tant par sa plume hautement poétique que son sujet totalement fantasque et inédit. Attention vertiges !
Un roman tout en sensibilité dans lequel les femmes occupent une place importante. Une pépite à ne pas manquer !
Un premier roman maîtrisé dans la forme par une écriture efficace et dans son histoire au suspense constant. Original par bien des côtés, il se lit d’une traite et nous laisse un peu KO une fois refermé. Une vraie météorite
Une fois encore Emmanuelle Pirotte nous emmène hors des sentiers battus dans ce roman où la rage le cède à la tendresse et où la solitude règne en maître, même à plusieurs.
Un très grand livre, une histoire prenante, inoubliable servie par une écriture ciselée, d’une efficacité incroyable.
Un roman noir plus qu’un policier. Avec des morts oui, mais surtout une étude sociologique de la Guyane française aujourd’hui. Humain, passionnant et inattendu.
Un polar humain, drôle et abouti qui mêle une enquête criminelle très investiguée, une équipe disparate mais soudée à un portrait social et sociétal actuel qui flirte avec l’érudition historique. On en redemande.
Pour moi qui aime les livres de femmes écrivant sur les femmes et la poésie, ce livre est un vrai coup de cœur…
Avec sa sensibilité, sa délicatesse et sa belle écriture limpide, Jean Mattern nous offre un vrai bonheur de lecture.
Amateur de nanar,
ou de romans de gare,
ce roman est pour toi.
Sinon, ton chemin passeras.
Un polar qui change, qui dépayse. Suspense, étude psychologique des personnages, rien ne manque. Le tout étant très bien écrit.
Malgré un sujet grave, ce livre peut plaire à tous grâce à une écriture sensible et délicate. Un vrai coup de cœur.
Intense. Maîtrisé de bout en bout : Comme le précédent, un roman « feel good » centré sur tout sauf le développement personnel et qu’il fait bon lire entre deux romans sombres. Des longueurs peut-être, des longueurs sûrement. Et à coup sûr le roman de l’été !
Beaucoup d’humour et d’imagination pour une lecture, parfois ardue, mais toujours passionnante et qui se mérite.
L’auteure. Après avoir été maître de conférences en microéconomie à l’université d’Orléans, Alice Ferney commence à écrire en 1987. Son premier roman, « Le ventre de
Olivier Norek se questionne, nous questionne et surtout interroge les grands de ce monde : politiques, lobbyistes de l’industrie et de l’énergie, banques. Impact relie les deux problèmes essentiels de ce début de siècle : les migrations et le réchauffement climatique en mettant en lumière la cause numéro un : l’homme et sa volonté de toujours consommer et posséder plus. Un plaidoyer impressionnant pour l’humain.
Pari réussi pour ce premier roman : un sujet difficile (l’intégrisme dans la religion chrétienne) abordé avec beaucoup de retenue et de sensibilité qui tient le lecteur en haleine.
1705 en Thuringe, Johann Sebastian Bach, 20 ans, organiste reconnu à Arnstadt, quitte sa paroisse pour Lübeck où il désire rencontrer Dietrich Buxtehude, un compositeur
Un policier désopilant et bien mené, avec lequel vous passerez un excellent moment et que vous serez triste de terminer.
« Ce qui relevait de la science-fiction au siècle dernier était désormais possible et envisageable. Parce que les prédictions d’un de ses romans cultes, 1984, d’Orwell, appartenaient déjà au passé »
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