Quand un écrivain du noir met sa prose au service de la dystopie, cela donne tout sauf de la science-fiction. Sans doute le plus fort et le plus noir roman d’Hervé Le Corre. A lire d’urgence en serrant les poings et les paupières.
Quand un écrivain du noir met sa prose au service de la dystopie, cela donne tout sauf de la science-fiction. Sans doute le plus fort et le plus noir roman d’Hervé Le Corre. A lire d’urgence en serrant les poings et les paupières.
Avec une seule enquête à résoudre, mais de taille, et un peu moins de passages hilarants, les personnages, toujours aussi déjantés, nous entraînent dans leur folie sérieuse.
Un roman noir poignant, profond et déchirant de beauté. C’est Hervé Le Corre, écrivain de l’humain avant tout.
Hervé Le Corre est un des maîtres de la littérature noire française contemporaine. Ce dernier roman le confirme, aussi sombre que sublime. Humain par-dessus tout. Poignant par moments.
Dans une Amérique qui tente de se déségrégationner, un polar vif, addictif dont il est impossible de deviner la fin. Avec un binôme impensable à la tête de l’enquête...
L’art et la manière de transformer une situation ou une période banale en véritable drame familial, social ou conjugal.
Une façon très réussie de pénétrer dans le monde de ce peintre original, fusionnel avec sa femme, d’une insouciance quasi enfantine
Un livre bouleversant et révoltant par son overdose de violence… C’est l’héroïne forte et lumineuse qui en fait un livre puissant et inoubliable.
Une "chasse à courre" qui tourne bien vite en chasse à l'homme. Et Nicolas Lebel seul qui tire les ficelles.
Sophie Hénaff mêle avec brio comédie sociale et roman policier. Un humour décapant le dispute à une grande habileté de construction. On en redemande.
Un personnage principal attachant, une véritable investigation, un « décor » de ruines et une époque sinistre peu abordée en littérature, ce polar au style classique est original à bien des titres.
Sophie Hénaff mêle avec brio comédie sociale et roman policier et ses personnages démêlent trois affaires en même temps. Le tout avec un humour décapant et une attention bienveillante. Une « affaire » à suivre…
A travers la face cachée de l’Amérique, des personnages ô combien attachants et une histoire placée d’emblée sous le signe d’un destin inéluctable.
Avec des morts en cascade en cette période de Toussaint en région parisienne comme en province, les Français ont peur de celle que la presse a surnommée d’emblée L’Empoisonneuse… On n’est plus très loin de l’hystérie collective
Un roman noir plus qu’un policier. Avec des morts oui, mais surtout une étude sociologique de la Guyane française aujourd'hui. Humain, passionnant et inattendu.
Un polar humain, drôle et abouti qui mêle une enquête criminelle très investiguée, une équipe disparate mais soudée à un portrait social et sociétal actuel qui flirte avec l’érudition historique. On en redemande.
Un polar qui change, qui dépayse. Suspense, étude psychologique des personnages, rien ne manque. Le tout étant très bien écrit.
A la fois polar-thriller, « nature writing » foisonnant, plaidoyer pour la cause animale et roman fantasque virant facilement au fantastique, Dans la gueule de l’ours est d’abord un premier roman fulgurant très original, à l’écriture aussi belle que maîtrisée, qui laisse son lecteur K.O. à la dernière page. Un sacré bol d’air !
L’auteure. J’ai un peu honte en lisant sa biographie : cette grande dame de la littérature canadienne a 81 ans et je n’avais encore rien lu d’elle ! Mieux vaut tard que jamais. Tout le monde connait La servante écarlate, mais elle a de très nombreux autres livres à son actif, dont un nombre important […]
Une belle leçon de vie sans leçon de morale. Un roman dépaysant, humain et généreux.
Un policier désopilant et bien mené, avec lequel vous passerez un excellent moment et que vous serez triste de terminer.
« Ce qui relevait de la science-fiction au siècle dernier était désormais possible et envisageable. Parce que les prédictions d’un de ses romans cultes, 1984, d’Orwell, appartenaient déjà au passé »
La vengeance, la violence, la loi du Talion poussée à son extrême. La désespérance. Pourtant l’espoir et l’humanité sont là, dans la force des sentiments, d’amour ou de haine… Sombre, déchirant, mais brillant.
Le pouvoir de Susan est une sorte d’ovni romanesque, à la lisière de tous les genres et très original. Pas facile à lire, il est cependant inlâchable grâce justement à ces multiples portes d’accès et à une vraisemblance qui aujourd’hui plus hier semble prémonitoire.