SI LA LITTÉRATURE DEVIENT PASSION, C’EST BIEN QUE TOUT EST DANS LES LIVRES !

Littérature

Retrouvez dans cette section toutes nos chroniques

Lorsque le dernier arbre ⇜ Michael Christie

Avec une écriture, une traduction et une architecture remarquables, un sujet qui prête à réfléchir maintenant, « Lorsque le dernier arbre » est un livre profond, immensément riche, qui mêle le sérieux de l’urgence climatique au romanesque, au suspense et à plus de 130 ans d’Histoire. Un monument littéraire écrit par un jeune homme. Attention, chef-d’œuvre !

⇝ La suite ⇜

Au-delà de la mer ⇜ Paul Lynch

Paul Lynch, c’est le Chateaubriant irlandais du 21e siècle. Avec, en sus, un sens de l’humain profond et une réflexion philosophique qui confine à la métaphysique. Un roman grandiose que l’on quitte non pas en pleurant mais en sanglotant !

⇝ La suite ⇜

Trois ⇜ Valérie Perrin

Intense. Maîtrisé de bout en bout : Comme le précédent, un roman « feel good » centré sur tout sauf le développement personnel et qu’il fait bon lire entre deux romans sombres. Des longueurs peut-être, des longueurs sûrement. Et à coup sûr le roman de l’été !

⇝ La suite ⇜

Fantômes ⇜ Christian Kiefer

Un sujet de l’histoire mondiale peu connu, des personnages poignants et une plume lyrique et retenue… Fantômes est un roman que l’on n’est pas près d’oublier. Triste à pleurer, inéluctable, il a la beauté d’une perle noire.

⇝ La suite ⇜

Dans la gueule de l’ours ⇜ James McLaughlin

A la fois polar-thriller, « nature writing » foisonnant, plaidoyer pour la cause animale et roman fantasque virant facilement au fantastique, Dans la gueule de l’ours est d’abord un premier roman fulgurant très original, à l’écriture aussi belle que maîtrisée, qui laisse son lecteur K.O. à la dernière page. Un sacré bol d’air !

⇝ La suite ⇜
Impact, d'Olivier Norek (couverture)

Impact ⇜ Olivier Norek

Olivier Norek se questionne, nous questionne et surtout interroge les grands de ce monde : politiques, lobbyistes de l’industrie et de l’énergie, banques. Impact relie les deux problèmes essentiels de ce début de siècle : les migrations et le réchauffement climatique en mettant en lumière la cause numéro un : l’homme et sa volonté de toujours consommer et posséder plus. Un plaidoyer impressionnant pour l’humain.

⇝ La suite ⇜