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SI LA LITTÉRATURE DEVIENT PASSION, C’EST BIEN QUE TOUT EST DANS LES LIVRES !

Littérature américaine

Avec ce premier roman noir qui nous bouleverse par le destin tragique de ses personnages et sa plume poétique, Ron Rash s’est révélé une des plus belles voix de la littérature américaine du Sud aujourd’hui, un auteur à lire sans réserve aucune. Plongeant toujours au plus profond de l’humain et abordant toujours des sujets d’actualité, la suite de son œuvre le consacre.
1865. Dans la période trouble qui suit, presque au jour près, la fin de la guerre de Sécession et l’abolition de l’esclavage en Amérique, deux frères noirs découvrent une liberté aussi difficile à vivre que l’esclavage dont ils sortent. Ces deux-là et un couple de fermiers blancs anti-esclavagistes essoreront votre âme et broieront votre cœur tout au long des pages. Un coup de cœur garanti.
Une famille unie se décompose après la mort de l’un de ses deux garçons. Avec en toile de fond un épisode dramatique peu connu de la triste histoire des Amérindiens, un roman qui nous déchire et nous fait sourire parfois.
Les mémoires originales et passionnantes de cette Américaine du New Jersey, devenue écrivaine de romans policiers qui se passent à Venise.
D’une beauté et d’une noirceur très réussies, avec pour sujet majeur la maltraitance des orphelins aux États-Unis, Barbara Kingsolver nous offre un sacré bon gros roman, avec un personnage qui vous restera longtemps en mémoire..
Un premier roman puissant et déchirant sur un thème toujours d’une actualité brûlante aux Etats-Unis. Amour et haine, courage solidaire et terreur, un livre tout en contrastes, en noir et blanc qui place Jocelyn Nicole Johnson au rang des nouvelles voix américaines engagées dont on n’a pas fini d’entendre parler.
Vous pouvez me rabaisser pour l’Histoire Avec vos mensonges amers et tordus, Vous pouvez me traîner dans la boue Mais comme la poussière, je m’élève encore,
Jim Harrison n’est pas mort. Son corps s’est effondré, c’est tout. Nous, ses fervents, devrions tous (re)lire ou avoir (re)lu une de ses œuvres. La jeune Sarah est la petite sœur de l’indomptable Dalva.
Conjuguant la jeunesse et sa fougue à la réflexion et mêlant sentiments et frasques en tout genre, ces nouvelles dévoilent les effets pervers de la série de guerres civiles qui ont mené au génocide cambodgien de 1975 à 1979. Sur les deux générations concernées.
Un texte émouvant, une belle remise en cause, une grande ouverture d’esprit et une aventure bouleversante.
Quintessence de la littérature romanesque, La Cité des nuages et des oiseaux est une odyssée dont la quête concerne un ancien manuscrit à travers les siècles. Le livre devient un objet sacré sans lequel l'humanité n'existe plus. Sidérant de force et de beauté.
Un second roman en forme de saga familiale sur trois générations. Avec des thèmes intemporels, au premier rang desquels la quête de soi.
Un livre bouleversant et révoltant par son overdose de violence… C’est l’héroïne forte et lumineuse qui en fait un livre puissant et inoubliable.
Un sujet et une fiction sombres inspirés d’une histoire vraie et racontés à la première personne par une très jeune femme lumineuse.
Ce livre est un miracle, son autrice une fée. Louise Erdrich, c’est de l’amour en pages.
A lire seulement si votre électrocardiogramme est récent et sans problèmes ! Si c’est le cas, nuits blanches assurées.
A travers la face cachée de l’Amérique, des personnages ô combien attachants et une histoire placée d’emblée sous le signe d’un destin inéluctable.
Epique, généreux et flamboyant. Un voyage de l’esprit et du cœur. Un livre sauvagement beau impossible à quitter, que l’on rouvre après l’avoir fermé. Un coup de cœur absolu.
Des personnages hauts en couleurs et une garantie d’évasion par la littérature que je vous incite à découvrir pour une belle échappée.
Un sujet de l’histoire mondiale peu connu, des personnages poignants et une plume lyrique et retenue… Fantômes est un roman que l’on n’est pas près d’oublier. Triste à pleurer, inéluctable, il a la beauté d’une perle noire.
A la fois polar-thriller, « nature writing » foisonnant, plaidoyer pour la cause animale et roman fantasque virant facilement au fantastique, Dans la gueule de l’ours est d’abord un premier roman fulgurant très original, à l’écriture aussi belle que maîtrisée, qui laisse son lecteur K.O. à la dernière page. Un sacré bol d’air !
Une belle leçon de vie sans leçon de morale. Un roman dépaysant, humain et généreux.
Louise Erdrich a franchi ici un pas de plus dans sa compréhension du monde actuel sans renoncer à glorifier les Amérindiens et exalter les sentiments, avec sa bienveillance et son empathie coutumières. Un roman sidérant de force et de beauté.
La vengeance, la violence, la loi du Talion poussée à son extrême. La désespérance. Pourtant l’espoir et l’humanité sont là, dans la force des sentiments, d’amour ou de haine… Sombre, déchirant, mais brillant.