Jim Harrison n’est pas mort. Son corps s’est effondré, c’est tout. Nous, ses fervents, devrions tous (re)lire ou avoir (re)lu une de ses œuvres. La jeune Sarah est la petite sœur de l’indomptable Dalva.
Jim Harrison n’est pas mort. Son corps s’est effondré, c’est tout. Nous, ses fervents, devrions tous (re)lire ou avoir (re)lu une de ses œuvres. La jeune Sarah est la petite sœur de l’indomptable Dalva.
Conjuguant la jeunesse et sa fougue à la réflexion et mêlant sentiments et frasques en tout genre, ces nouvelles dévoilent les effets pervers de la série de guerres civiles qui ont mené au génocide cambodgien de 1975 à 1979. Sur les deux générations concernées.
ur un sujet pourtant rebattu, Paul Cleave réussit à nous surprendre. Avec des pages qui se tournent aussi vite que se déroulent les faits, ça fait du bien de temps en temps
Un texte émouvant, une belle remise en cause, une grande ouverture d’esprit et une aventure bouleversante.
Quintessence de la littérature romanesque, La Cité des nuages et des oiseaux est une odyssée dont la quête concerne un ancien manuscrit à travers les siècles. Le livre devient un objet sacré sans lequel l'humanité n'existe plus. Sidérant de force et de beauté.
Une belle surprise de cette rentrée que ce pseudo-thriller dont le suspense n'est pas le principal attrait. Le moteur de l’histoire, c’est l’amour avec un grand A. Et la persistance des us et coutumes amérindiens...
Un second roman en forme de saga familiale sur trois générations. Avec des thèmes intemporels, au premier rang desquels la quête de soi.
Un livre bouleversant et révoltant par son overdose de violence… C’est l’héroïne forte et lumineuse qui en fait un livre puissant et inoubliable.
Un sujet et une fiction sombres inspirés d’une histoire vraie et racontés à la première personne par une très jeune femme lumineuse.
À la fois sombre et lumineuse, cette histoire est un hommage vibrant aux femmes "autochtones" du Canada qui portent leur vie à bout de bras toutes ensemble. Et leur mort aussi. Une tragédie transformée en force vitale.
Ce livre est un miracle, son autrice une fée.
Louise Erdrich, c’est de l’amour en pages.
A lire seulement si votre électrocardiogramme est récent et sans problèmes ! Si c’est le cas, nuits blanches assurées.
A travers la face cachée de l’Amérique, des personnages ô combien attachants et une histoire placée d’emblée sous le signe d’un destin inéluctable.
A lire et à offrir pour sa beauté, sa profondeur et son humanisme.
Avec une écriture, une traduction et une architecture remarquables, un sujet qui prête à réfléchir maintenant, "Lorsque le dernier arbre" est un livre profond, immensément riche, qui mêle le sérieux de l’urgence climatique au romanesque, au suspense et à plus de 130 ans d’Histoire. Un monument littéraire écrit par un jeune homme. Attention, chef-d’œuvre !
Paul Lynch, c’est le Chateaubriant irlandais du 21e siècle. Avec, en sus, un sens de l’humain profond et une réflexion philosophique qui confine à la métaphysique. Un roman grandiose que l’on quitte non pas en pleurant mais en sanglotant !
Epique, généreux et flamboyant. Un voyage de l’esprit et du cœur. Un livre sauvagement beau impossible à quitter, que l’on rouvre après l’avoir fermé. Un coup de cœur absolu.
Des personnages hauts en couleurs et une garantie d’évasion par la littérature que je vous incite à découvrir pour une belle échappée.
Une écriture parfois lyrique, des personnages poignants et une histoire tragique qui ne peut se lire impassible, « Par une mer basse et tranquille » nous touche d’autant plus profondément que l’histoire de Farouk est d’une actualité brûlante.
Un sujet de l’histoire mondiale peu connu, des personnages poignants et une plume lyrique et retenue… Fantômes est un roman que l’on n’est pas près d’oublier. Triste à pleurer, inéluctable, il a la beauté d’une perle noire.
A la fois polar-thriller, « nature writing » foisonnant, plaidoyer pour la cause animale et roman fantasque virant facilement au fantastique, Dans la gueule de l’ours est d’abord un premier roman fulgurant très original, à l’écriture aussi belle que maîtrisée, qui laisse son lecteur K.O. à la dernière page. Un sacré bol d’air !
L’auteure. J’ai un peu honte en lisant sa biographie : cette grande dame de la littérature canadienne a 81 ans et je n’avais encore rien lu d’elle ! Mieux vaut tard que jamais. Tout le monde connait La servante écarlate, mais elle a de très nombreux autres livres à son actif, dont un nombre important […]
Une belle leçon de vie sans leçon de morale. Un roman dépaysant, humain et généreux.
Louise Erdrich a franchi ici un pas de plus dans sa compréhension du monde actuel sans renoncer à glorifier les Amérindiens et exalter les sentiments, avec sa bienveillance et son empathie coutumières. Un roman sidérant de force et de beauté.