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SI LA LITTÉRATURE DEVIENT PASSION, C’EST BIEN QUE TOUT EST DANS LES LIVRES !

Maïmaï ⇜ Aki Shimazaki

Sorti chez Léméac/Actes Sud en avril 2019. Roman. 176 pages.

Dernier tome de la pentalogie L’ombre du chardon, après Azami, Hôzuki, Suisen et Kuki-no-tô.

Tarô, 26 ans, sourd-muet, mannequin et peintre, vient de perdre sa mère. Il va s’installer chez sa grand-mère, Bâchan, qui l’a élevé et qu’il aime tendrement.

Il retrouve Hanako, une amie d’enfance perdue de vue depuis longtemps, et le passé remonte à la surface, lourdement chargé d’émotions puissantes.

Une conclusion à laquelle on ne s’attend pas pour clore cette belle histoire avec une écriture fine et ciselée, comme celle de Gaëlle JOSSE. Un régal pour les amateurs de littérature japonaise, même si ces romans sont écrits directement en français par cette auteure québécoise.

2 Responses

  1. Je ne peux que t’encourager à persister. Haruki Murakami est long d’être le seul. La littérature japonaise est une de mes préférées.. J’aime sa délicatesse, son respect, son originalité, sa belle écriture, sa poésie… La liste est interminable des auteurs que je pourrais conseiller : Ito OGAWA, Yoko OGAWA, Junichiro TANIZAKI avec « Eloge de l’ombre », Banana YOSHIMOTO et « Kitchen », Akira YOSHIMURA et les auteurs de bandes dessinées pour adultes, comme Jiro TANIGUCHI… Le choix est infini et le voyage garanti.
    Belle découverte !

  2. Je n’aime pas trop la littérature japonaise (même si Aki Shimazaki écrit directement en français) et je ne sais pas vraiment pourquoi. Quand on me le demande, je réponds toujours : « je trouve ça trop léger ». Peut-être parce que j’ai trop aimé Haruki Murakami… Je crois qu’un jour je réessayerai car il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et je refuse de l’être.

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