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SI LA LITTÉRATURE DEVIENT PASSION, C’EST BIEN QUE TOUT EST DANS LES LIVRES !

Littérature internationale

Situé fin 1943, dans le périmètre du Vatican pendant l’occupation de Rome par les Allemands, “Dans la maison de mon père” est un thriller littéraire et historique de haut niveau. Avec des personnages caritatifs dont un prêtre hors normes, Monsignore. Histoire, suspense et émotions, l’immersion est totale, le rythme effréné et le bonheur de lecture garanti. Et les faits véridiques.
Un roman pour le moins surprenant, bellement écrit et traduit, dont les thèmes et la tournure finale de l’histoire nous poursuivront longtemps, tout comme les personnages, forts, faibles, secrets et pétris d’humanité. Un coup de cœur.
Avec sa constance inébranlable, Louise Erdrich revient sur les souffrances du peuple amérindien, en général, qu’elle raconte sans misérabilisme (de sa part) mais avec empathie, compassion et lucidité.
Des personnages inoubliables, décortiqués à l’os, une Histoire tourmentée et des histoires poignantes, un souffle épique puissant et une reconstitution historique intense font de La lumière vacillante un livre lumineux, profond, addictif. Un livre magique, éblouissant, qui se mérite à chaque page et laisse son lecteur orphelin de lecture pendant bien longtemps.
Après minuit est un roman policier qui utilise plusieurs ficelles : celles du thriller domestique, de la science-fiction et d’une enquête policière en parallèle. Efficace et addictif avec un suspense constant, des personnages attachants et une temporalité fracturée.
Avec ce premier roman noir qui nous bouleverse par le destin tragique de ses personnages et sa plume poétique, Ron Rash s’est révélé une des plus belles voix de la littérature américaine du Sud aujourd’hui, un auteur à lire sans réserve aucune. Plongeant toujours au plus profond de l’humain et abordant toujours des sujets d’actualité, la suite de son œuvre le consacre.
Dans un français littéraire parfait, Shan Sa nous offre un broie le cœur. Amour(s) impossible(s), Histoire et histoires cruelle, guerre sino-japonaise... Un destin tragique et un roman poignant.
Deux frères “séparés” à l’adolescence par la schizophrénie du cadet s’aiment d’un amour profond et indéfectible. Écrit avec une plume pudique, délicate et intense, “Le roitelet”, impossible à oublier, est un condensé d’amour et de mélancolie dont la poésie se savoure mot après mot, un goût de sucré-salé dans la bouche.
1865. Dans la période trouble qui suit, presque au jour près, la fin de la guerre de Sécession et l’abolition de l’esclavage en Amérique, deux frères noirs découvrent une liberté aussi difficile à vivre que l’esclavage dont ils sortent. Ces deux-là et un couple de fermiers blancs anti-esclavagistes essoreront votre âme et broieront votre cœur tout au long des pages. Un coup de cœur garanti.
En trois parties bien distinctes, Erri de Luca semble construire, déconstruire et reconstruire une histoire qui, malgré tout reste la même : celle d’une amitié profonde et solidaire entre deux êtres dissemblables mêlée de non-dits et de rebondissements inattendus, dévoilés peu à peu.
Près de 70 ans de la vie d’un homme, morcelés et racontés en deux périodes principales. Le destin pas tout à fait ordinaire d’un homme qui affirme “avoir toujours eu de la chance” et choisi sa fin de vie solitaire. Des personnages rendus touchants par leurs faiblesses.
Une histoire dans laquelle on apprend beaucoup sur l’occupation de la Norvège par les nazis et sur l’intégrité de ce pays. Et sur les secrets d’une famille très riche et très puissante.
Une famille unie se décompose après la mort de l’un de ses deux garçons. Avec en toile de fond un épisode dramatique peu connu de la triste histoire des Amérindiens, un roman qui nous déchire et nous fait sourire parfois.
Les mémoires originales et passionnantes de cette Américaine du New Jersey, devenue écrivaine de romans policiers qui se passent à Venise.
D’une beauté et d’une noirceur très réussies, avec pour sujet majeur la maltraitance des orphelins aux États-Unis, Barbara Kingsolver nous offre un sacré bon gros roman, avec un personnage qui vous restera longtemps en mémoire..
Un premier roman puissant et déchirant sur un thème toujours d’une actualité brûlante aux Etats-Unis. Amour et haine, courage solidaire et terreur, un livre tout en contrastes, en noir et blanc qui place Jocelyn Nicole Johnson au rang des nouvelles voix américaines engagées dont on n’a pas fini d’entendre parler.
Robert Goddard a l’art et la manière de manier tous les genres littéraires à la fois. Il lève ici le voile sur un pan trouble “ignoré” de l’Histoire conflictuelle de l’Algérie et la France. Passé et présent se conjuguent entre Algérie, France et Angleterre.
Vous pouvez me rabaisser pour l’Histoire Avec vos mensonges amers et tordus, Vous pouvez me traîner dans la boue Mais comme la poussière, je m’élève encore,
Un roman qui nous bouleverse par ses personnages et leur histoire. Remarquablement écrit et traduit, il laisse passer toutes les émotions jusqu’à nous.
Antigone est devenue le symbole de toutes les femmes qui se rebellent contre la tyrannie et les injustices.
Si vous ne l'avez pas lu, c'est le moment de le lire. Si vous l'avez lu, c'est le moment de le relire. Chef-d'œuvre malheureusement intemporel.
Jim Harrison n’est pas mort. Son corps s’est effondré, c’est tout. Nous, ses fervents, devrions tous (re)lire ou avoir (re)lu une de ses œuvres. La jeune Sarah est la petite sœur de l’indomptable Dalva.
Conjuguant la jeunesse et sa fougue à la réflexion et mêlant sentiments et frasques en tout genre, ces nouvelles dévoilent les effets pervers de la série de guerres civiles qui ont mené au génocide cambodgien de 1975 à 1979. Sur les deux générations concernées.