Si la littérature devient passion, c’est bien que tout est dans les livres !

Le Berger de l’Avent ⇜ Gunnar GUNNARSSON

Un texte d’une grande profondeur, avec de très belles descriptions météorologiques, puissantes et réalistes.
Sorti en 2019 chez Zulma Poche. Roman traduit de l’islandais par Gérard Lemarquis et Maria S. Gunnarsdottir. 88 pages.

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Le Berger de l’Avent ⇜ Gunnar GUNNARSSON 3

Gunnar Gunnarsson est un écrivain islandais mort en 1975 à 86 ans. Lecture assidu depuis l'enfance, il commence à écrire très tôt. Après des études universitaires au Danemark, il décide d'y rester pour se consacrer entièrement à l'écriture. Ses premières œuvres sont passées inaperçues ou presque. Mais dès 1912, la Saga de la famille Bjorg connait un grand succès au Danemark et sera traduite en plusieurs langues. Il devient un écrivain connu et reconnu, proposé plusieurs fois pour le Prix Nobel et publie un nombre impressionnant de sagas et de romans. Quelques-uns ont été traduits en français, dont celui-ci. (Source Wikipédia).

Paru pour la première fois en 1993 chez arléa, Collection L’Etrangère, avec une couverture belle à pleurer, Le Berger de l’Avent est sorti avec une magnifique postface de Jon Kalman Stefansson, traduite par Eric Boury. Et une couverture digne de toutes les couvertures des éditions Zulma.

Depuis 27 ans, Benedikt, valet de ferme « simple, peu au fait des subtilités de l’histoire et de la théologie, esprit empli de dévotion et de bonne volonté », part à la recherche des animaux égarés dans les montagnes, le premier dimanche de l’Avent, avec son chien de berger et son bélier, Léo et Roc.
Ils n’hésitent pas à affronter la tempête qui fait rage, le blizzard violent, pour rassembler et ramener les moutons perdus dans la nature, allant d’un refuge à l’autre, lui et ses fidèles compagnons. Et sa ténacité persistante.

Ce texte est d’une grande profondeur, avec de très belles descriptions météorologiques, puissantes et réalistes.

Et, bien sûr, les commentaires de Stefansson dans la postface sont à la hauteur de ce grand écrivain sensible. Une lecture que je vous recommande vivement.

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L'est pas mignon ce p'tit mouton perdu ?

Sûr, je le lirai, celui-ci.
Peut-être juste pour le tendre mouton (mais est-ce bien un mouton, ou plutôt un bélier?) de la première couverture
ci-contre.
Pour son sujet et sa pagination raisonnable

aussi peut-être.
Et parce que les conseils de la Popine, Cunégonde pour ne pas la nommer, toujours concis, nous mettent chaque fois les mots dessous les yeux.
Cathy La SL
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