Un roman qui peut être classé dans les romans « feel good » = « qui font du bien ». Et il n’y a pas de honte à cela, surtout en cette période anxiogène que nous traversons difficilement.
Impact, d’Olivier Norek
Olivier Norek se questionne, nous questionne et surtout interroge les grands de ce monde : politiques, lobbyistes de l’industrie et de l’énergie, banques. Impact relie les deux problèmes essentiels de ce début de siècle : les migrations et le réchauffement climatique en mettant en lumière la cause numéro un : l’homme et sa volonté de toujours consommer et posséder plus. Un plaidoyer impressionnant pour l’humain.
Bénie soit Sixtine, de Maylis Adhémar
Pari réussi pour ce premier roman : un sujet difficile (l’intégrisme dans la religion chrétienne) abordé avec beaucoup de retenue et de sensibilité qui tient le lecteur en haleine.
L’enfant de la prochaine aurore, de Louise Erdrich
Louise Erdrich a franchi ici un pas de plus dans sa compréhension du monde actuel sans renoncer à glorifier les Amérindiens et exalter les sentiments, avec sa bienveillance et son empathie coutumières. Un roman sidérant de force et de beauté.
Laisse aller ton serviteur, de Simon Berger
1705 en Thuringe, Johann Sebastian Bach, 20 ans, organiste reconnu à Arnstadt, quitte sa paroisse pour Lübeck où il désire rencontrer Dietrich Buxtehude, un compositeur qui le fascine et dont il vient de découvrir quatre cantates non publiées, Membra Jesu Nostri....
Poulets grillés, de Sophie Hénaff
Un policier désopilant et bien mené, avec lequel vous passerez un excellent moment et que vous serez triste de terminer.