Si la littérature devient passion, c’est bien que tout est dans les livres !

Une odyssée, un père, un fils, une épopée ⇜ Daniel Mendelsohn

LES CINQ PREMIERES LIGNES. Par un soir de janvier, il y a quelques années, juste avant le début du semestre de printemps au cours duquel je devais enseigner un séminaire de licence 1 sur l'Odyssée, mon père, chercheur scientifique à la retraite alors âgé de quatre-vingt-un ans, m'a demandé...
Un texte émouvant, une belle remise en cause, une grande ouverture d’esprit et une aventure bouleversante
Sorti chez Flammarion en 2017. Traduit de l’anglais par Clotilde Meyer et Isabelle D. Taudière. Titre original : "An Odyssey. A Father, a Son and a Epic". Roman. 418 pages.

Daniel Mendelsohn photo Matt. Mendelsohn.
Photo © Matt Mendelsohn

Né à Long Island en 1960, Daniel Mendelsohn devient, après des études de lettres classiques, critique littéraire. Il est notamment l’auteur de L’Étreinte fugitive ; Les Disparus (prix Médicis étranger 2008) ; Une odyssée, un père, un fils, une épopée, parus chez Flammarion.
Depuis 2019, il est contributeur de la New York Review of Books et directeur de la fondation Robert B. Silvers. Il enseigne la littérature au Bard College dans l’État de New York.

(Source texte et photo : Flammarion)

En janvier 2011, Daniel Mendelsohn, professeur de littérature classique au Bard College, donne un séminaire de licence 1 sur l'Odyssée, auquel son père de quatre-vingt-un ans lui demande d’assister.


De fin janvier à début mai, le vieil homme ne manquera aucune séance et n’hésitera pas à donner son avis sur Ulysse qui n’a rien d’un « vrai héros » parce que c’est un menteur et qu’il a trompé sa femme.

En parallèle avec le commentaire du poème d’Homère, l’auteur apprendra à vraiment connaître son père.

Un texte émouvant, une belle remise en cause, une grande ouverture d’esprit et une aventure bouleversante que je vous recommande vivement.

Cathy la SL. Mouais. Cela m’oblige à jeter un coup d'œil sur une de mes PAL dans laquelle domine par  l’épaisseur de sa tranche Les Disparus, que je m’étais juré de lire cet été (un gros pavé contemporain et deux classiques “costauds” par été). Je ne tiens pas toujours mes promesses.

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