La vengeance, la violence, la loi du Talion poussée à son extrême. La désespérance. Pourtant l’espoir et l’humanité sont là, dans la force des sentiments, d’amour ou de haine… Sombre, déchirant, mais brillant.
Littérature anglo-saxonne
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Et que le vaste monde poursuive sa course folle, de Colum McCann
L’écrivain manipule ses personnages avec une telle maestria, dans un tel tourbillon que l’on se croit perdu alors qu’il faut juste se laisser porter car… tout se pose à la fin.
Rosie, une enfance anglaise, de Rose Tremain
Un grand plaisir de lecture garanti.
Nickel Boys, de Colson Whitehead
Nul doute que Toni Morrison, de son vivant, aurait salué la justesse de l’écrit et remercié son auteur. Un véritable brûlot.
Une machine comme moi, de Ian Mc Ewan
Une fois de plus, Ian Mc Ewan épate par l’originalité de ses sujets et la maîtrise de son écriture.
L’Empreinte, d’Alexandria Marzano-Lesnevich
Autobiographique, sincère mais tout autant pudique, parfois difficile à lire, L’Empreinte est également un récit fort et courageux. Une méditation personnelle qui donne à réfléchir sur de nombreux sujets graves, dont les secrets de famille et la pédophilie. Un thriller judiciaire haletant.