Si la littérature devient passion, c’est bien que tout est dans les livres !

Catégorie : Tombés des mains

…Et non pas « Tombés du camion ». Plusieurs raisons possibles à ce qu’un livre nous « tombe des mains », outre celles de son poids s’il dépasse les cinq cents pages et de «l’achat-couverture » : la page 99 n’a pu être atteinte, le style ne vaut rien, l’histoire ne vole pas haut (style et histoire peuvent s’inverser, en aucun cas se cumuler…), les personnages sont insignifiants… Ou tout simplement vous n’accrochez pas au sujet, vous avez le droit de refermer le livre sans le lire ou le finir. Vous vous appuierez ainsi sur l’article 3 des Dix droits du lecteur de Daniel Pennac. Un conseil : oubliez illico l’article 1 !
Et si vous voulez argumenter en faveur d’un Tombé des mains, vous pouvez vous manifester auprès de Bouquivore.

Les droits imprescriptibles du lecteur (Daniel Pennac)

  1. Le droit de ne pas lire.
  2. Le droit de sauter des pages.
  3. Le droit de ne pas finir un livre.
  4. Le droit de relire.
  5. Le droit de lire n’importe quoi.
  6. Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible).
  7. Le droit de lire n’importe où.
  8. Le droit de grappiller.
  9. Le droit de lire à haute voix.
  10. Le droit de nous taire.


Les eaux mortes du Mékong ⇜ Kim Lefèvre

Pas vraiment tombé des mains, mais lu par acquit de conscience, terminé parce qu’il est court. Déception. Je croyais apprendre plein de choses sur l’Indochine. J’ai lu un roman de gare.