Olivier Norek se questionne, nous questionne et surtout interroge les grands de ce monde : politiques, lobbyistes de l’industrie et de l’énergie, banques. Impact relie les deux problèmes essentiels de ce début de siècle : les migrations et le réchauffement climatique en mettant en lumière la cause numéro un : l’homme et sa volonté de toujours consommer et posséder plus. Un plaidoyer impressionnant pour l’humain.
L’enfant de la prochaine aurore, de Louise Erdrich
Louise Erdrich a franchi ici un pas de plus dans sa compréhension du monde actuel sans renoncer à glorifier les Amérindiens et exalter les sentiments, avec sa bienveillance et son empathie coutumières. Un roman sidérant de force et de beauté.
L’homme de la plaine du Nord, de Sonja Delzongle
« Ce qui relevait de la science-fiction au siècle dernier était désormais possible et envisageable. Parce que les prédictions d’un de ses romans cultes, 1984, d’Orwell, appartenaient déjà au passé »
Ce qu’il faut de nuit, de Laurent Petitmangin
Histoire d’une famille exclusivement masculine, un père et ses deux fils, qui dérape lorsque l’un d’eux commet l’irréparable, Ce qu’il faut de nuit est également une belle histoire d’amour bancale qui explore avec pudeur et sensibilité le cœur « des hommes » et les rapports père-fils.
Le dynamiteur, d’Henning Mankell
Premier et court roman d’Henning Mankell, Le Dynamiteur contient déjà ses thèmes de prédilection, ses interrogations et ses convictions. Un regard aimant, bienveillant sur le genre humain, essentiellement sur les petites gens. Nous y faisons la connaissance du « père » de Wallander.
Ce lien entre nous, de David Joy
La vengeance, la violence, la loi du Talion poussée à son extrême. La désespérance. Pourtant l’espoir et l’humanité sont là, dans la force des sentiments, d’amour ou de haine… Sombre, déchirant, mais brillant.